Un jour, j'écoutais Radio Classique et ils passaient un morceau de piano d'un style contemporain. Comme certains savent, le style musical contemporain est parfois, je dirais même souvent, un enchevêtrement de notes et de rythmes qui n'a apparemment - et pas que - aucun sens. J'ai imagé cela comme un compositeur qui secourait sa plume sur le papier pour éparpiller l'encre sous forme de tâches. En d'autres termes, ils jettent les notes sur le papier sans s'occuper des règles fondamentales de solfège, la grammaire musicale. J'ai décidé d'illustrer cela avec un texte que je vous déconseille expressément de lire puisque ce sera purement et simplement de la
merde. Si vous ne me croyez je vais essayer de vous convaincre : aucune règle grammaticale ne sera respectée, je vais jeter les mot sur le papier, comme le font les compositeurs pour leur si douce musique que je qualifie purement de
merde, comme mon futur texte. Mais avant ce texte, voici un poème qui va illustrer le mot
merde autrement.
Cette douce texture d'un marron nappée,
Dans les chiottes par nos soins chaque jour lâchée
Par notre délicat et bien-aimé anus,
Ou bien plus souvent ce qu'on nomme trou du cul !
Merde huile que ornithorynque dentifrice je dur kaki apostropher île le nunchaku ponctuel manette gifles parce gonfle bon très trop bien Gustave pont lut aimât puits corps nasale navette friction qui gommer or xylophone traverser
crotte manutention bureau Gilles premièrement gyrophare cryogénèse.